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leduc a (.
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Poème religieux, en 5 chants : suivi de diverses épîtres et d'une apparition miraculeuse
Leduc-A
- Hachette Bnf
- 1 Avril 2017
- 9782013028097
Poème religieux, en 5 chants, suivi de diverses épîtres et d'une apparition miraculeuse, par Alexandre Leduc,...
Date de l'édition originale : 1837
Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr -
Immersif et choc, un thriller haletant, par une nouvelle et puissante voix du genre. À chaque page qui se tourne, un mécanisme diabolique s'installe, et la vie de ces enfants menace de basculer dans le néant... Saurez-vous garder la tête froide ?
Cette disparition tient du prodige, de l'impossibilité pure et simple... Comment deux cars scolaires - 66 enfants en partance pour leur classe de neige - ont-ils pu se volatiliser de la sorte ? Les parents, la presse, la France entière demandent à savoir.
Le ravisseur n'en dit rien, évidemment. Mais sa première requête étonne. Il ne parlera, dit-il, qu'à Talia Sorel, toute nouvelle recrue du Raid. Commence alors, entre ce manipulateur hors pair et la jeune négociatrice, un bras de fer sous haute tension. Un duel où chaque mot, chaque souffle peut faire basculer le sort de ces enfants... -
«Mon cas n'est pas unique : j'ai peur de mourir et je suis navrée d'être au monde. Je n'ai pas travaillé, je n'ai pas étudié. J'ai pleuré, j'ai crié. Les larmes et les cris m'ont pris beaucoup de temps. Le passé ne nourrit pas. Je m'en irai comme je suis arrivée. Intacte, chargée de mes défauts qui m'ont torturée. J'aurais voulu naître statue, je suis une limace sous mon fumier.» Autobiographie sans remords et sans artifice, La Bâtarde revient sur l'enfance de Violette Leduc : la honte, la faute, son physique disgracieux, son attirance pour les deux sexes, ses amours, ses abandons, ses rendez-vous ratés. L'ouvrage retrace trente années, durant lesquelles elle travaille, écrit, souffre d'écrire, découvre le beau monde et se lie d'amitié avec Maurice Sachs et Simone de Beauvoir. Malgré des envolées lyriques éblouissantes, rien n'est enjolivé dans son écriture si exigeante, si précise ; toujours à la recherche du mot juste et cependant introuvable. Violette veut tout remuer, tout dire de sa mémoire brûlante. Sa plume perce l'épaisseur des années sans aucune concession. Écrire comme un acte de survie. D'une immense beauté, La Bâtarde permit à Violette Leduc de connaître enfin le succès, à l'âge de 57 ans.
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«Isabelle allongée sur la nuit enrubannait mes pieds, déroulait la bandelette du trouble. Les mains à plat sur le matelas, je faisais le même travail de charme qu'elle. Elle embrassait ce qu'elle avait caressé puis, de sa main légère, elle ébouriffait et époussetait avec le plumeau de la perversité. La pieuvre dans mes entrailles frémissait, Isabelle buvait au sein droit, au sein gauche. Je buvais avec elle, je m'allaitais de ténèbres quand sa bouche s'éloignait. Les doigts revenaient, encerclaient, soupesaient la tiédeur du sein, les doigts finissaient dans mon ventre en épaves hypocrites.» Dans Thérèse et Isabelle, longtemps censuré, Violette Leduc tente de «rendre le plus minutieusement possible les sensations éprouvées dans l'amour physique». Voici des pages âpres et précieuses, d'une liberté de ton qu'aucune femme écrivain n'avait osé prendre en France avant elle.
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Pensé comme un roman de formation et d'émancipation, l'ouvrage retrace l'itinéraire amoureux de Thérèse, l'alter ego de Violette Leduc, de l'adolescence à la maturité. Thérèse aime Isabelle, puis Cécile, puis Cécile et Marc, puis Marc. Jugé obscène, Ravages est censuré en 1955. Le livre paraît amputé des cent cinquante premières pages (Thérèse et Isabelle) et de plusieurs passages clés (les scènes du taxi, de la chambre d'hôtel et de l'avortement final). «C'est un assassinat» pour Violette Leduc. La censure déséquilibre l'ouvrage et en modifie la portée. Ravages est un roman mort-né. Aujourd'hui, pour la première fois, Thérèse et Isabelle retrouve Ravages. L'Imaginaire propose une édition hors-série annotée et augmentée des passages censurés, repérés à l'encre violette. L'occasion unique de redécouvrir le roman subtil et engagé d'une pionnière féministe.
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«Elle est belle. Elle est en Italie. Elle ne pense pas à toi. Le jour de son arrivée, elle ne te verra pas. Tu le sais. Je lui donnerai ma vie. Elle s'en fout. Elle sera dans la ville mais tu ne le sauras pas. C'est abominable. Je la tuerai. J'embrasserai ses deux mains que je rapprocherai. Elles ne sont pas plus intelligentes que moi, ses mains. Je reviendrai devant son immeuble. Le garçon de café lui parle. Le coiffeur touche ses cheveux. Écrasez-moi, Madame...» L'affamée est la description de l'Amour.
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«Je ne me lasse pas du même menu : tomates fraîches, charcuterie, vache qui rit, pêche, chocolat menier, citron pressé ou bien vin rouge selon ma tempérance ou mon intempérance. Mon dos à midi cherche un double dans un fossé, contre un poteau télégraphique, contre une meule, contre un cabanon. Il est sept heures du soir au mois de juillet dans les campagnes. Je m'arrête, je demande à ma mort qu'elle me prenne en été à la même heure, lorsque la lumière a mûri, lorsque dehors est une douce véranda. Que je meure lorsque l'aboiement du chien de l'infini baisse d'un ton, que je meure après le sursaut : le cliquetis au coeur des soucoupes du café où je vous ai attendue, Madame...» Sur les conseils de Simone de Beauvoir, Violette Leduc décide de parcourir la Provence en sac à dos. Trésors à prendre est le fruit de cette aventure : un authentique journal de voyage, qui décrit les endroits qu'elle traverse, ses rencontres fortuites, ses réflexions, ses flâneries et mésaventures qui lui permettent de se rapprocher d'elle-même. Ici Violette Leduc nous offre une écriture en mouvement, qui cherche son équilibre ; toujours à la conquête des mots. Écriture sensible et sensuelle qui éveille nos sens le long d'un chemin parcouru ensemble.
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L'organisation de notre travail favorise-t-elle une bonne conciliation entre notre vie personnelle et professionnelle ? Est-elle propice à notre bon développement et à notre reconnaissance au sein de l'entreprise ? Ces questions, parmi d'autres, touchent à la qualité de vie au travail (ou QVT), qui regroupe les conditions dans lesquelles les employés exercent leur activité professionnelle. Encadrée par la loi Santé au travail depuis le 2 août 2021, elle vise à créer un environnement sain, motivant et épanouissant afin de prémunir les risques professionnels tels que le stress et l'épuisement professionnel.
À l'heure de la généralisation du télétravail et de l'évolution du rapport individuel au travail, Sylvain Leduc se penche sur les principaux modèles théoriques de la QVT et sur les facteurs qui l'influencent. Il présente les outils et les méthodes pour l'améliorer ainsi que les bonnes pratiques pour envisager un travail durable qui contribue au développement du bien-être physique, psychologique et social. Mais, entre bien-être et productivité, quel est réellement l'effet escompté ?
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«Malgré les larmes et les cris, les livres de Violette Leduc sont ravigotants - elle aime ce mot - à cause de ce que j'appellerai son innocence dans le mal, et parce qu'ils arrachent à l'ombre tant de richesses. Des chambres étouffantes, des coeurs désolés ; les petites phrases haletantes nous prennent à la gorge : soudain un grand vent nous emporte sous le ciel sans fin et la gaieté bat dans nos veines. Le cri de l'alouette étincelle au-dessus de la plaine nue. Au fond du désespoir nous touchons la passion de vivre et la haine n'est qu'un des noms de l'amour.» Simone de Beauvoir.
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«Ma mère ne m'a jamais donné la main...» Tout est dit dès la première phrase du roman. L'asphyxie, c'est une enfance étouffée, le poids d'une faute, une blessure, un mal d'aimer incessant, des larmes, mais aussi une musique de rue, une poupée brisée, un cornet de frites, un parfum d'orange... Parce qu'un enfant n'a pas conscience du temps, L'asphyxie n'a pas de chronologie propre. Ce sont des soubresauts d'émotions, des coups d'oeil de la mère sur sa fille, le regard «dur et bleu», des gifles de mots. Dans son tout premier ouvrage, Violette Leduc dévoile déjà un style incisif, et plante la figure maternelle comme la proue énigmatique de son grand navire.
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Diabète : Mieux contrôler votre sucre sanguin
Alexandra Leduc
- Modus Vivendi
- 23 Janvier 2025
- 9782897762964
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Violette Leduc s'est peinte et a raconté le début de sa vie dans La Batârde : son enfance à Valenciennes, entre sa mère et sa grand-mère. Le pensionnat, puis le lycée à Paris. Son travail comme secrétaire dans une maison d'édition, puis comme journaliste. Son amitié avec Maurice Sachs. Dans La folie en tête, on la retrouve intacte, tout aussi entière dans ses réactions et dans ses défis. Mais ce sont, autour d'elle, les choses et les gens qui ont changé. Dans le Paris de l'immédiat après-guerre, la Bâtarde fait son entrée - et sans trop, d'abord, s'en apercevoir. Rien n'est modifié dans sa façon d'approcher, puis d'appréhender les êtres. Ses activités clandestines, un temps poursuivies, cèdent le pas à des activités littéraires, auxquelles elle ne se sentait guère destinée, et qui, sans l'éblouir, l'absorbent, et conditionnent enfin sa vie même. Cela nous vaut une étonnante galerie de portraits, où Sartre, Simone de Beauvoir, Jean Genet, Nathalie Sarraute, Colette Audry - entre bien d'autres - apparaissent tels qu'ils pouvaient sembler être aux yeux d'une «provinciale», nullement émerveillée, mais passionnée de comprendre et d'aimer.
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Du recordman du 100 mètres Usain Bolt au judoka le plus titré de la planète Teddy Riner, en passant par le boxeur légendaire Mohamed Ali, la gymnaste triple médaillée d'or Nadia Comãneci ou encore le roi du ballon rond Pelé, cet ouvrage passionnant met à l'honneur plus de 40 athlètes qui ont accompli de véritables exploits dans leur discipline et marqué l'histoire du sport.
Passionné d'actualité sportive depuis sa plus tendre enfance, Julien Leduc décide tout naturellement d'en faire son métier. Journaliste sportif depuis 2006, sa polyvalence l'amène à rédiger des articles sur des disciplines très diverses comme le cyclisme, l'athlétisme, le tennis, le football, le hockey ou encore les sports de combat. Aujourd'hui, Julien Leduc collabore avec de très nombreux titres de la presse régionale ainsi qu'avec le journal L'Équipe.
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Cholesterol : Diminuez les risques cardiovasculaires
Alexandra Leduc
- Modus Vivendi
- 16 Janvier 2025
- 9782897763053
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Un thriller dans les coulisses du Vatican : un secret qui pourrait remettre en cause les grandes religions.
Rome, le Vatican, de nos jours.
Pourquoi avons-nous tant besoin de croire ? Pourquoi aucune civilisation ne s'est-elle jamais développée sans l'idée d'un Dieu, ou parfois de plusieurs ? Lorsque l'administration du pape nouvellement élu confie au professeur Adrian Sandgate une mission d'expertise de textes anciens, il ne se doute pas qu'il va découvrir une réponse à cette question totalement inattendue. Projetés dans une intrigue policière hors norme, une journaliste ambitieuse, un professeur en théologie écossais, un commissaire héros de la police italienne et une enquêtrice complexée en quête de reconnaissance, seront confrontés au mystère le plus inimaginable de leur vie. Et si Dieu ne nous avait pas abandonnés... -
«Les partis ne vous ont pas manqué. Vous avez toujours refusé. Pourquoi ? One ne le saura jamais.» Ainsi parle à Mademoiselle Clarisse - cinquante-quatre ans - un client de son café-épicerie-mercerie de village. Nous non plus, nous ne saurons pas pourquoi Clarisse - fort sociable pourtant, et qui entretient avec sa clientèle des relations harmonieuses - a vécu et vit solitaire. Mais nous comprenons qu'il y a en elle quelque chose de noué, et qui ne favorise pas les relations avec les hommes. Dans sa jeunesse elle fuyait les rencontres, maintenant elle rêve «d'un homme ne sachant pas se défendre». Et voilà que survient un homme inattendu. Il s'est réfugié dans la salle de café, il y est mort. Aussitôt Clarisse s'empare de lui. Une tempête de tendresse, d'amour et de dévouement la saisit devant ce corps qui lui est livré, et de qui elle prend soin comme si son activité terrestre n'était pas interrompue à jamais. Elle invente son histoire, s'invente une histoire avec lui, mais doit vite reconnaître que le mort ne pourra rien lui donner.
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«Si je me sauvais ? Je peinerais Simone de Beauvoir. Elle veut me voir guérie. Si je me jetais en bas de leur escalier ? Je me casserais une jambe. Ils plâtreraient ma jambe. Où déjeunent Simone de Beauvoir et Claude Lanzmann ? Je préfère l'ignorer. Sait-elle qu'elle m'a amenée dans une chambre de forcenée ? Le sait-elle ? C'est un affront, c'est une atteinte à la liberté.» Publié de façon posthume, La chasse à l'amour s'ouvre sur une lame de rasoir. Violette Leduc meurt de chagrin et veut se donner la mort. «La folie en tête», Violette nage dans un sentiment de persécution perpétuel, dans des délires fantasmatiques et autres hallucinations funèbres. Dans cet ouvrage l'autrice dépeint sa vie jusqu'en 1964, depuis ses séjours de 1956-57 en maison de repos. Elle revient également sur sa relation avec René, une nouvelle obsession amoureuse, puis sur sa vie à Faucon, en Provence, lieu d'inspiration pour l'écriture de La bâtarde.
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"Je hais mon dormeur qui peut se créer, avec de l'inconscience, une paix qui m'est étrangère. Je hais son front de miel. Il a un visage d'ange mais si je le secoue c'est une bête écartée d'un os." Lire l'oeuvre de Violette Leduc, participe toujours de l'expérience : expérimentation des mots, de leur sens, de leur contre-sens, de l'obsession de l'écriture, de la face charnelle du texte. Ce récit court et touffu, publié en 1948 et jamais réédité depuis, nous emporte dans la nuit insomniaque d'une femme que l'on imagine entre la réalité, l'homme assoupi à ses côtés et le fantasme, les méandres des souvenirs obsessionnels de l'écrivain.
Béatrice Cussol s'est emparée de ce texte pour en imager les sinuosités. C'est avec une évidente connivence qu'elle nous livre sa vision sans concession du texte et le puzzle se reconstruit au fil des pages en une image entière où l'oeil s'égare sans jamais trouver le repos, comme dans les nuits de Violette Leduc.
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Alice est une brillante critique gastronomique, mariée à un écrivain célèbre et à qui la vie a tout donné. Jusqu'au jour où, sans raison apparente, son corps commence à se couvrir d'étranges brûlures inexpliquées. Aucun médecin, psychiatre ou marabout n'arrive à la soigner, ni même à identifier les causes de ces symptômes spectaculaires.
Grâce à la recommandation de l'éditeur de son mari, Alice obtient un rendez-vous chez un grand neurologue aux méthodes particulières. Lors d'une première séance de psychanalyse sous hypnose, Alice est victime d'un effroyable cauchemar : elle semble revivre le calvaire d une adolescente disparue en 1937 dans d'étranges circonstances.
Qui est cette mystérieuse Lisa ? Est-elle réelle ou imaginaire ? Alice parviendra-t-elle à percer le secret de la mémoire du temps ?
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Les risques psychosociaux
Sylvain Leduc, Gérard Valléry
- Que sais-je ?
- Que Sais-je ?
- 30 Août 2023
- 9782715419131
Les conditions de travail se sont globalement aggravées en France et en Europe. Rançon des logiques gestionnaires mises en oeuvre au sein des organisations, la souffrance au travail a aussi changé de nature stress, harcèlement sexuel etou moral, violence entre les personnels, violence externe (exercée par des personnes extérieures à l'entreprise à l'encontre de salariés), burn-out, addictions, etc. sont de nouveaux maux du travail.
Depuis le milieu des années 000, cette réalité est saisie sous l'expression Risques psychosociaux ou RPS. Des recherches et interventions de plus en plus nombreuses sur les situations de travail qui engendrent ces souffrances ont permis l'émergence de concepts et d'outils pour analyser, évaluer et surtout prévenir ces risques cet ouvrage en dresse un panorama aussi éclairant qu'utile. -
Éloge des intelligences atypiques : pas comme les autres, plus que les autres !
Séverine Leduc, David Gourion
- ODILE JACOB
- Poches Odile Jacob
- 1 Septembre 2021
- 9782738157447
Quels sont les points communs entre Einstein, Andy Warhol, Vincent Van Gogh et Mark Zuckerberg ? Ces êtres exceptionnels, doués d'une intelligence atypique, ont une façon bien à eux d'envisager le monde. Cependant, ils manquent d'intelligence relationnelle et de sens d'autrui. Leur cerveau ne fonctionne pas tout à fait comme celui des autres. C'est de cette spécificité qu'il est question dans ce livre. Nombreuses sont les personnes dont les talents secrets peuvent passer inaperçus. Il n'est pas rare qu'elles souffrent à l'école, en entreprise, dans leur famille, de l'incompréhension de leurs forces et de leurs fragilités. Comment les aider à s'épanouir, à développer leur intelligence sociale pour qu'elles puissent exprimer toutes leurs potentialités, être reconnues, et ainsi améliorer leur estime de soi ? À partir d'exemples et de conseils issus de leur pratique, le docteur David Gourion et Séverine Leduc nous conduisent à la découverte des intelligences multiples et atypiques.
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Après la mort mystérieuse de son collègue universitaire, la très médiatique Shana Stenford se voit confier la direction d'un site de fouilles enfoui dans le Piémont, en Italie. Très rapidement, la jeune préhistorienne et son généreux mécène sont précipités, malgré eux, dans une spirale infernale qui dépasse de loin le cadre de la paléontologie.
Quel mystère se cache sous les Alpes italiennes et ensanglante les travaux de Shana et son équipe ? C'est ce qu'essaiera de découvrir un vieux commissaire, héros de la police italienne, aux méthodes parfois atypiques.
Une vertigineuse conspiration scientifique et politique où les incroyables découvertes, les meurtres et les énigmes se succèdent à un rythme effréné !
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Point d'intersection du droit privé et du droit public, assurant l'organisation des marchés, l'efficacité du crédit et la protection des particuliers,le droit bancaire organise la collecte et la redistribution de la monnaie. Le droit bancaire est institutionnel car établissements et autorités bancaires forment le secteur bancaire, secteur réglementé par un statut spécial.